Méduse
Et si Gorgone, de ton miroir solaire, tu me méduses, je n’aurais plus d’yeux pour admirer ta transparence gélatineuse transcender le soleil.
Et quand Gorgone, tu as quitté ton corps, tu ne peux plus réfléchir le soleil, il faut alors lever les yeux pour trouver la lumière et te chercher dans l’azur.
©Isabelle Orsini/2009